Carnet de route

Ste Baume, Tour des dents de Roque Forcade

Le 01/12/2024 par KNUCHEL Jean-François

Pour ce dimanche 1 décembre nous avons programmé une rando simple : Les dents de Roque Forcade et le mont Cauvin au départ du col de l’Espigoulier. Nous sommes 7 (Christian, Anne, Jackie, Jocelyne, Laurence, Patrick et moi-même) pour cette rando sympathique et sans difficulté technique avec une météo annoncée bonne. Nous sommes tous au col vers 9h20 et démarrons la rando par une monté raide en direction des dents que nous contournerons par la gauche. Le sentier est étroit, humide et glissant, il faut être vigilant sur les passages rocheux d’autant que le ciel est bien couvert. Nous avons une vue bien dégagée au nord, croisons quelques grottes peu profondes jusqu’au passage clé nous permettant de remonter sur le plateau, là, il faut mettre un peu les mains. Le sommet nous attend avec un joli rayon de soleil. Nous cheminons sur le plateau jusqu’au Plan des Vaches et son gouffre que nous allons visiter.

Installation d’un brin de corde sur un arbre et descente dans la première grande salle de 25*8m. Pendant une petite heure, nous visitons les boyaux partant de la salle, pas trop loin car le gouffre se poursuit par des puits jusqu’à -60m. Un petit monticule de pierre nous permet de remonter à l’air libre et de reprendre notre randonnée en direction de la Tour Cauvin. Par une rampe coté nord, nous accédons à son sommet avec une grande vue sur la falaise de la Ste Baume. Nous nous installons pour déjeuner dans un petit renfoncement bien à l’abri du vent avec vue sur la Ste Baume, il est 12h10. Une demi-heure plus tard, il nous faut descendre de notre piédestal par la vire toujours un peu glissante, Après moult précaution, nous arrivons en bas et prenons le sentier de retour par le vallon du Cros. Une petite pose dans un bivouac bien aménagé avant la montée bien raide au col du Cros puis le sentier de retour au col de l’Espigoulier, vers les 15h00. Bonne journée, pas trop ensoleillée mais bien sympathique.

Quelques souvenirs ci après.

Jean-François